Nouvelles brèves
SNC-Lavalin renforce sa présence en France Pingat Ingénierie, filiale française de SNC-Lavalin, vient de faire l'acquisition d'une société d'ingénierie de l'ouest de la France : Société Boplan, qui compte une centaine de collaborateurs répartis sur ses cinq sites. Avec 350 collaborateurs et un chiffre d'affaires global cumulé d'environ 45 millions d'Euros, la nouvelle entité résultant de cette acquisition devient un leader de l'ingénierie agro-alimentaire en Europe ainsi qu'un acteur clé de l'ingénierie industrielle à proximité du client. Cette transaction a vu le jour grâce à SNC-Lavalin, l'un des leaders mondiaux de l'ingénierie-construction qui s'est porté acquéreur du capital de Société Boplan. "SNC-Lavalin continue sa progression en France et va permettre aussi à Pingat et à Boplan de poursuivre leur stratégie de croissance et de développement", a déclaré Krish Krishnamoorthy, vice-président directeur de SNC-Lavalin, "Jean-Claude Pingat, pdg de Pingat Ingénierie, assurera la présidence de la nouvelle entité SNC-Lavalin France qui sera créée à cette occasion". "Cette alliance s'inscrit dans les stratégies de chacune des sociétés en renforçant leurs points de convergences : le développement et l'élargissement de leurs métiers de base, l'augmentation de la taille des opérations et la recherche d'une meilleure couverture du territoire", a ajouté Jean-Claude Pingat, "Jacques Bodreau, pdg de Société Boplan, assurera la vice-présidence de la nouvelle entité". L'activité de Boplan, très complémentaire à celle de Pingat, est essentiellement tournée vers les secteurs de l'agroalimentaire, de l'industrie, du tertiaire, de la logistique et des surfaces commerciales. SNC-Lavalin est l'un des plus importants groupes d'ingénierie et de construction au monde et un joueur clé dans la propriété et la gestion d'installations. Le groupe de sociétés SNC-Lavalin compte près de 10 000 employés dans ses bureaux partout au Canada et dans 30 autres pays à travers le monde. SNC-Lavalin travaille actuellement dans une centaine de pays.
Le FAQDD investit 25 millions de $ dans le développement durable au Québec Le président du Fonds d'action québécois pour le développement durable (FAQDD), Christian Yaccarini, en compagnie du ministre délégué à l'Environnement et à l'Eau, Jean-François Simard, ont dressé le bilan des activités du FAQDD. "Ces deux premières années d'existence ont permis au FAQDD de soutenir et de sélectionner 134 projets, pour un investissement total de plus de 25 millions $. Pour chaque dollar investi par le FAQDD, un dollar a été ajouté par le milieu, pour atteindre un montant total de plus de 55 millions$ depuis janvier 2001. Cet apport financier a contribué à la création et au maintien de plus de 822 emplois directs en développement durable au Québec, selon les informations fournies par les promoteurs de projets", a expliqué M. Yaccarini. Les trois premiers appels de projets ont permis au FAQDD de recevoir près de 500 projets de partout au Québec. Les projets soutenus et sélectionnés sont répartis dans 14 régions, et ont une portée tant régionale que nationale. Parmi les projets retenus, 22 ont une portée nationale et peuvent prétendre avoir un rayonnement dans l'ensemble des régions du Québec. Le bilan du FAQDD indique que se sont principalement les organismes à but non-lucratif qui ont été soutenus et sélectionnés, soit 83 projets pour un investissement de 15,1 millions $. Les entreprises ont également reçu une bonne part du soutien du FAQDD, avec un investissement de 4,7 millions $, pour la mise en place de 17 projets. Les municipalités ont pour leur part, reçu un appui de 1,9 million $ de la part du FAQDD, pour le soutien de 15 projets. Soulignons que ces dernières bénéficient de sommes supérieures par leur partenariat dans de nombreux projets. Le FAQDD a de plus soutenu 19 projets provenant de centres de recherche et d'institutions d'enseignement, pour des investissements de 3,6 millions $. "Nous sommes heureux de ce bilan, puisqu'il prouve le dynamisme des organismes, des entreprises et des institutions oeuvrant en développement durable, en plus de démontrer le potentiel économique d'un secteur qui, avant la création du FAQDD, avait été malheureusement souvent négligé", a tenu à souligner M. Yaccarini. Les activités financés se résument en quatre groupes d'interventions. Le FAQDD a permis la mise en place de 27 projets d'infrastructures vertes pour un investissement global de 5,4 millions $. Les projets de sensibilisation et de formation soutenus et sélectionnés par le FAQDD sont au nombre de 52 et sont appuyés par un investissement de près de 8,9 millions $. Un montant de 7,7 millions $ a également été consacré à la mise en place de 35 projets de recherche et développement et de projet-pilote et de démonstration. À ces activités s'ajoutent 20 projets portant sur l'élaboration d'outil de gestion en développement durable qui sont principalement utilisés pour le soutien des initiatives locales en gestion de bassin versant pour un montant de 3,3 millions $. Le FAQDD dispose également d'un programme de bourses et de stages auprès des jeunes qui s'intéressent au développement durable. Un montant de près de 150 000 $ a été consacré pour appuyer des étudiants de niveau universitaire, collégial et secondaire. Le programme de stages a également permis la réalisation de 39 stages, principalement dans les organismes à but non-lucratif et les PME du Québec pour un total de près de 400 000 $. "Suite au succès de sa programmation, le conseil d'administration du FAQDD a pris la décision de reporter tout nouveau dépôt de projet. Cette période permettra au conseil d'administration du FAQDD de proposer des moyens qui assureront une pérennité au FAQDD, de réorienter ses interventions, ainsi qu'à apporter certains correctifs pour mieux servir sa clientèle, de préciser M. Yaccarini. Cependant, le conseil s'est engagé à dévoiler l'ensemble de ses nouvelles mesures avant la fin du mois de septembre 2002." Par ailleurs, le programme de bourses et de stages du FAQDD demeure disponible. Nous invitons les institutions d'enseignement, les étudiants et les employeurs à consulter le site Internet du FAQDD au www.faqdd.qc.ca pour avoir des informations supplémentaires et à participer à ces deux programmes. Le gouvernement du Québec a confié au FAQDD une enveloppe de 45 millions $ afin de soutenir financièrement des projets dans le but d'améliorer et de diffuser les connaissances et les pratiques respectueuses du développement durable. Le FAQDD a aussi le rôle de contribuer à l'essor et la mise en valeur de la biodiversité ainsi qu'à l'accès au patrimoine écologique du Québec.
Dufferin Aggregates obtient la médaille d'or pour l'excellence de ses relations avec la communauté Lors du petit déjeuner de remise des prix de la National Stone, Sand & Gravel Association (NSSGA) qui a eu lieu récemment à Las Vegas, au Nevada, Dufferin Aggregates, important producteur d'agrégats de la région du Grand Toronto, s'est vu décerner trois prix pour ses relations avec la communauté dans le cadre du programme "Good Neighbors" et deux prix dans le cadre du programme "About Face". La prestigieuse médaille d'or d'excellence en éducation communautaire a été accordée à la carrière de Milton de Dufferin Aggregates pour la richesse de ses programmes destinés aux jeunes et au public, qui comprennent des excursions, des brochures et des conférences. La médaille d'argent pour services exceptionnels rendus à la communauté a été décernée à la carrière d'Acton et à la sablière de Mill Creek. Les sablières de Mosport et de Mill Creek ont remporté le prix de l'installation modèle dans le cadre du programme "About Face", qui récompense les producteurs d'agrégats ayant déployé des efforts décisifs pour rehausser l'apparence de leurs exploitations. "Nous sommes fiers de toutes les installations de Dufferin Aggregates qui ont été primées dans le cadre du programme de la NSSGA. C'est un grand honneur pour une société canadienne de recevoir ces prix prestigieux à l'occasion d'un événement d'envergure nord-américaine, a déclaré Bill Galloway, directeur général de Dufferin Aggregates. Selon nous, un programme de relations avec la collectivité est le meilleur moyen de prouver que nos activités représentent un atout pour les communautés." Ces nombreux prix pour ses relations avec la communauté ont valu à Dufferin Aggregates d'être reconnue à l'échelle régionale, nationale et internationale pour la qualité de son travail. En février, Dufferin Aggregates s'est vu décerner huit prix d'excellence par l'Aggregate Producers Association of Ontario (APAO). Ces prix récompensent les normes les plus élevées en matière de relations avec la collectivité, de gestion immobilière et de gestion environnementale. Dufferin Aggregates, une division de Ciment St-Laurent, est un important fournisseur d'agrégats pour la construction qui dessert toute la région du Grand Toronto. Située à Concord, la société exploite 14 installations, dont quatre carrières, six réserves de sable et de gravier, et trois postes de distribution situés dans la région de Toronto.
Bell Mobilité lance son réseau de nouvelle génération dans la région de Québec Bell Mobilité a lancé le 4 avril dernier à Québec son réseau sans fil 1X qui, grâce à sa vitesse de transmission de données sans fil la plus élevée au Canada actuellement, permet aux clients de la grande région de Québec de bénéficier de l'expérience sans fil la plus riche en matière de communications sans fil. Au cours de l'été prochain, Bell Mobilité rendra disponible le service 1X également dans d'autres grands centres urbains du Québec et dans la majeure partie de sa zone de couverture nationale d'ici la fin de l'année 2002. "Le réseau 1X et les appareils sans fil de transmission voix et données évolués ouvrent la voie à une toute nouvelle gamme de services, d'outils et de solutions, explique Claude Rousseau, vice-président marché d'affaires et ventes de Bell Mobilité. Combinés, ils permettent l'accès au plus vaste éventail d'applications pour les marchés d'affaires et consommateur de l'industrie." Avec ce premier réseau 1X au Canada, Bell Mobilité permet aux gens qui sont en déplacement d'en faire plus, plus rapidement. L'arrivée du 1X à Québec renforce l'engagement de Bell Mobilité à offrir à ses clients les solutions mobiles qu'ils désirent, tout en faisant en sorte qu'elles soient plus faciles d'utilisation, plus excitantes, plus interactives et plus personnalisées que jamais. Bell Mobilité a aussi profité de l'occasion du lancement de son réseau 1X pour introduire le téléphone Kyocera 2255, le premier appareil compatible avec le réseau 1X au Canada. D'autres appareils sans fil de nouvelle génération seront également lancés prochainement. Le nouveau réseau 1X de Bell Mobilité offre de nombreux avantages. Grâce à son débit de transmission de données sans fil pouvant atteindre 144 kbit/s et à sa vitesse de croisière de 86 kbit/s, soit un débit cinq fois plus élevé que ce que permet la technologie d'aujourd'hui, le réseau 1X permet aux clients de télécharger une page de texte en trois secondes ou encore une photographie numérique en couleurs en seulement cinq secondes. Un autre avantage de ce réseau, et de sa plate-forme de commutation par paquets, est qu'il offre une connexion permanente. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder à Internet en quelques secondes et à l'information dont ils ont besoin, sans avoir à établir préalablement la connexion comme auparavant. De plus, les services d'affaires proposés par l'entremise du réseau 1X de Bell Mobilité rendront plus performant l'accès aux courriels et aux intranets d'entreprise, et offriront la possibilité de partager des fichiers et un accès plus facile aux répertoires de contacts, à l'agenda ainsi qu'au contenu Web avec graphiques. Bell Mobilité lance aussi de nouveaux services destinés au marché consommateur, surtout au segment "Jeunes". Les utilisateurs pourront dorénavant télécharger des tonalités de sonnerie et des écrans de veille personnalisés directement de leur téléphone sans fil ou à partir du site Web de Bell Mobilité. "L'éventail de nouveaux services riches en options mobiles, de divertissement et d'information continuera de croître rapidement, ajoute M. Rousseau. Au cours de l'année 2002 et des années qui suivront, nous étendrons au Québec notre gamme de services fonctionnant à l'aide de la technologie 1X, qui comprendra l'accès à des services de géolocalisation et le téléchargement de vidéoclips et de photos." Bell Mobilité offre aux clients qui veulent profiter du réseau 1X de nouvelle génération des options de facturation souples pour la transmission de données sans fil, établies en fonction du volume transmis plutôt que du temps d'antenne.
Une nouvelle taxe en habitation menace l'accès à la propriété et des milliers d'emplois L'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) presse le ministre délégué à l'Habitation, Jacques Côté, d'intervenir pour abolir la mise en place d'une nouvelle taxe dans le secteur de l'habitation. Hier à Québec, dans le cadre d'une réunion avec M. Côté, l'APCHQ a présenté ses principales recommandations destinées à pallier aux problèmes de l'industrie. Pour l'APCHQ, les redevances de développement sont à proscrire étant donné la fragilité de notre marché et la taxation déjà trop élevée du secteur de l'habitation. Les enjeux soulevés par les redevances de développement sont cruciaux pour l'industrie, les municipalités et le gouvernement du Québec. L'APCHQ est en désaccord avec les prétentions du gouvernement à l'effet qu'une taxe freinerait l'étalement urbain. Il s'agit davantage d'une nouvelle taxe déguisée refilée à la classe moyenne. Dans le cadre du pacte fiscal conclu entre le gouvernement du Québec et les municipalités, un régime de redevances de développement a été mis en place pour financer les infrastructure nécessaires servant à desservir les nouveaux développements immobiliers. L'introduction de celui-ci était prévu pour 2002. Aux yeux de l'APCHQ, il s'agit d'une mesure qui freinera la construction de maisons neuves au Québec. Les redevances de développement pourraient s'élever à plusieurs milliers de dollars par habitation et pourraient ainsi changer significativement le prix relatif de la maison neuve par rapport à la maison existante. Elles causeraient également un ralentissement de l'industrie ainsi que des pertes fiscales importantes. Toute hausse significative des taxes, affectant la construction neuve, se traduit par l'éviction de milliers de ménages du marché de la maison neuve. L'expérience canadienne démontre que les redevances peuvent varier de 1 000 $ à 5 000 $ par unité construite. En fonction des scénarios envisagés, la diminution du nombre de mises en chantier, attribuable à l'introduction de redevances, pourrait atteindre près 12 000 unités par année, ce qui se traduirait par la mise à pied de plus de 6 000 travailleurs directs et indirects. Les redevances de développement constitueraient une taxe additionnelle qui ne vient pas régler le problème du fardeau de taxation que supporte déjà le secteur résidentiel québécois lorsqu'on le compare à celui du secteur non résidentiel ou à celui du secteur résidentiel ontarien. De plus, l'imposition des redevances de développement ne fera qu'amplifier l'iniquité existant actuellement dans le marché entre les propriétaires de maisons existantes et ceux de maisons neuves. Dans un contexte de pénurie de logements, l'APCHQ ne voit aucune cohérence à instaurer des programmes de subvention afin d'inciter la construction de logements d'une main et imposer une nouvelle taxe sur la construction de l'autre. Le secteur de l'habitation au Québec ne possède ni la vitalité ni l'espace fiscal suffisant pour affronter une nouvelle hausse de taxes. L'APCHQ a déjà fait part au gouvernement de mesures qui peuvent être mises en place afin d'assurer une meilleure perception des taxes relatives à l'habitation, notamment par le biais de la lutte au travail au noir.
Bois d'oeuvre: d'autres pertes d'emplois sont à prévoir "L'annonce américaine des taux finaux de 29% en droits compensateurs et anti-dumping sur le bois d'oeuvre est dévastatrice pour l'industrie québécoise du bois d'oeuvre", a déclaré le P.D.G. de l'Association des manufacturiers de bois de sciage du Québec (AMBSQ), M. Jacques Robitaille, dans le cadre d'une rencontre régionale tenue à Baie-Comeau le 4 avril dernier, avec des représentants de l'industrie du sciage et du monde municipal. Depuis septembre au Québec, les manufacturiers de bois de sciage ont dû ralentir leurs activités, soit en fermant temporairement les usines, soit en supprimant des quarts de travail et la Côte-Nord n'y a pas échappé. On évalue qu'environ 6800 emplois ont été touchés dans la province. Pour la Côte-Nord, c'est autour de 1100 emplois qui ont été affectés, soit 17% de tout le Québec. Cette instabilité s'est traduite par des baisses de production significatives, soit de l'ordre de 11% dans le cas du Québec comparativement à 5% pour l'ensemble du Canada. Cela a eu comme effet d'affecter la santé financière des entreprises et plusieurs ont dû reporter leurs projets d'investissement. La Côte-Nord est une région importante en termes de ressources forestières, notamment en matière ligneuse. En effet, elle représente plus de 30% du volume marchand brut des forêts productives de tout le Québec. Près des trois quarts de la superficie de la Côte-Nord sont forestiers et 99% des forêts sont publiques. On trouve une quarantaine de scieries dans cette région qui emploient quelque 4000 personnes dont la moitié en forêt. La Côte-Nord produit chaque année 720 millions de pieds mesure de planche, soit 11% de toute la production québécoise. Ce volume équivaut au bois nécessaire à la construction de plus de 50 000 maisons unifamiliales moyennes. La situation actuelle est sombre et préoccupante pour l'industrie du sciage du Québec. Bien que l'industrie conserve tous les recours juridiques en vertu de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) et auprès de l'Organisation commerciale du commerce (OMC), la longueur des délais va nécessiter un appui gouvernemental afin de passer au travers cette période critique. A ce stade-ci, il faut continuer à regarder toutes les options afin d'éviter ces tarifs dévastateurs.
Deuxième phase de l'expansion du réseau de train léger sur rail de Calgary Earth Tech, division de Tyco International Ltd., a été sélectionné par la ville de Calgary à titre de principal expert-conseil pour la deuxième phase de l'expansion vers le sud du système de train léger sur rail (TLR) de la ville. Earth Tech proposera des services de conception et de génie construction pour le tracé des voies, le drainage et la relocalisation des services. La construction devrait commencer en juin pour se terminer en juin 2004. À elle seule, la partie du tracé des voies est évaluée à plus de 6,0 millions $. Le prolongement de 2,9 kilomètres de la ligne sud du réseau TLR débutera à la station Fish Creek-Lacombe pour se terminer à la limite sud de la ville. Les services fournis par Earth Tech dans le cadre de ce projet comprendront la conception et la construction des remblais, des services publics, des voies, des passages à niveau, des clôtures et des diverses structures. "Earth Tech fournit des services d'ingénierie des transports à la ville de Calgary depuis plus de 50 ans et collabore au réseau TLR de Calgary depuis plus de 20 ans", a affirmé Diane C. Creel, présidente d'Earth Tech. "L'expansion du système de transport de Calgary suit le rythme de la croissance de la population de la ville. Or le réseau TLR est l'épine dorsale de ce système. Cette expansion facilitera l'accès au système de transport pour la population de Calgary qui connaît une croissance rapide, et simplifiera la circulation entrante et sortante dans le sud de Calgary." Le réseau de TLR de Calgary, qui s'étend sur 29 km compte plus de 550 millions d'usagers depuis sa création en 1981. Earth Tech a terminé récemment la première phase de la ligne sud en prolongeant le système d'environ 4 km à partir de la station Anderson à la station Fish Creek-Lacombe à la hauteur de la 146e avenue. La division du transport en commun d'Earth Tech propose des services complets de gestion de projets, de planification, de permis environnementaux, de conception, de gestion de l'approvisionnement, de gestion de la construction, de démarrage et d'assurance de la qualité pour les réseaux de transports. Ceci comprend le rail lourd, les trains légers, les systèmes de transport de passagers, les trains de banlieue, le transport terrestre à grande vitesse, les cabines guidées et les autobus, de même que les réseaux ferroviaires pour le transport de passagers et de marchandises. La clientèle d'Earth Tech est composée de l'ensemble des principales sociétés de transport en commun des Etats-Unis, le gouvernement fédéral, divers organismes d'Etat et de nombreux pays étrangers.
Le Groupe Océan se porte acquéreur du groupe Trois-Rivières Remorqueurs ltée Le Groupe Océan s'est porté acquéreur de la totalité des actions du groupe Trois-Rivières Remorqueurs ltée. Cette acquisition fait en sorte que le Groupe Océan desservira dorénavant quatre ports québécois et portera à 17 le nombre de remorqueurs de sa flotte. Le groupe Trois-Rivières Remorqueurs ltée, fondé en 1949, se spécialise dans le remorquage portuaire et le service de bateaux-pilotes et emploie 30 personnes. Les quatre remorqueurs, ainsi que la flotte de petits bateaux et barges de travail, viennent s'ajouter aux navires que possède le Groupe Océan. Claude Houde et Jean-René Vincent, actionnaires du groupe trifluvien, assureront la continuité des opérations. Cette transaction aura pour effet de consolider les opérations de Groupe Océan qui, au cours des derniers mois, a subi une diminution marquée de son trafic maritime. Cette situation, grandement attribuable au ralentissement économique qui a touché l'industrie maritime, a entraîné une baisse de 23% de son volume d'affaires depuis avril 2001. D'autre part, l'analyse de la situation a amené le groupe Trois-Rivières Remorqueurs ltée, également tributaire de ce ralentissement économique, à privilégier la vente de son entreprise, ce qui va assurer à long terme la poursuite de ses activités et le maintien des emplois. Le Groupe Océan compte miser largement sur la synergie qui existe entre les deux entreprises, ce qui va permettre des économies d'échelle significatives au plan administratif et de la gestion de la flotte. L'impact positif se fera également sentir sur d'autres aspects liés aux activités de l'entreprise, tels que la réparation navale, l'entretien et l'ingénierie. L"entreprise, qui emploie actuellement 274 employés et dont le siège social est situé à Québec, est l'un des leaders de l'industrie maritime canadienne. Il offre à sa clientèle du Québec et des Maritimes des services maritimes intégrés, tels que le remorquage portuaire, le transport par barges, la construction et la réparation navale, la location d'équipements maritimes, de même que la plongée commerciale et le déminage sous-marin.
Novaroute propose un tunnel bimodal À l'invitation de la Commission de consultation sur l'amélioration de la mobilité entre Montréal et la Rive-Sud, le consortium Novaroute présentait, le 14 février dernier, une solution ultramoderne au problème de déplacement des personnes et des marchandises. Conciliant différents modes de transport, le projet proposé est un tunnel bimodal sous-fluvial, situé tout juste à l'est du pont Champlain, avec emprises à l'autoroute 10, sur la Rive-Sud, et au Technoparc, du côté de Montréal. Devant la Commission présidée par monsieur Roger Nicolet, monsieur Jacques Grenier, porte-parole de Novaroute, a déclaré : "En répondant à l'invitation de la Commission, nous présentons ce qui nous apparaît être la meilleure solution technique au problème de mobilité tel qu'étudié par les experts de nos trois entreprises. Nous avons aussi largement tenu compte des opinions exprimées devant la Commission et avons développé notre solution en conséquence." À la fine pointe de la technologie, le tunnel bimodal proposé est constitué de deux étages distincts : le premier est consacré au transport en commun, tandis que le second est dédié aux voitures et aux camions légers. Le niveau inférieur est conçu de manière à offrir un corridor évolutif pour un système de transport en commun, soit par autobus électrique, tramway, système léger sur rail (SLR) ou métro. Ce lien vise notamment le remplacement du corridor autobus du pont Champlain par une solution plus performante sur les plans de la flexibilité, du respect de l'environnement, de la sécurité, de l'accessibilité et de l'intégration au milieu urbain. "La flexibilité de notre solution permet au gestionnaire du transport en commun d'ajuster son offre à la demande", de préciser M. Grenier. Le niveau supérieur comporte, pour sa part, deux voies réservées aux véhicules légers, faisant ainsi passer le nombre d'accès routiers, à destination de l'île de Montréal, de 13 à 15. Gérées par un "système intelligent de trafic", ces nouvelles voies permettent une augmentation mesurée de la fluidité automobile. Par ailleurs, la solution a un effet bénéfique immédiat sur le pont Champlain, en y améliorant la circulation pour le camionnage lourd et en éliminant la voie d'autobus à contre-sens. Enfin, la mise sur pied d'une tarification modulée pour le transport automobile dans le tunnel permettrait une meilleure gestion de la demande. "Notre solution offre des gains environnementaux importants par la diminution de la pollution créée par la congestion actuelle des automobiles et le remplacement des autobus polluants par des systèmes propres, de préciser M. Grenier. De plus, le tunnel n'affecte en rien le fleuve Saint-Laurent, que ce soit sur le plan visuel ou environnemental ". Cette solution, évaluée à 800 millions$, pourrait se réaliser dans le cadre de la Loi sur le partenariat public-privé. La construction s'étalerait sur 4 années et créerait quelque 500 emplois. Innovatrice, elle permettrait le développement de l'expertise québécoise dans le domaine des tunnels forés d'envergure, technologie maîtrisée par les partenaires de Novaroute. Novaroute est un consortium, mis sur pied en 2000 regroupant AXOR, Sintra et Bouygues Travaux Publics.
Signature d'un nouveau contrat entre SNC-Lavalin et la Great Man-Made River Authority de Libye SNC-Lavalin s'est vu attribuer un important contrat d'une valeur de 475,2 millions $, en vue de l'exploitation, de l'entretien et de la garde de l'usine de fabrication de conduites d'adduction d'eau de Sarir, en Libye. Il s'agit du troisième projet lié aux ressources hydrique confié à SNC-Lavalin par la Great Man-Made River Authority (GMRA). L'an dernier, la société canadienne a décroché un contrat pour la restauration de 26 kilomètres de conduites destinées à alimenter en eau les régions côtières de la Libye. La GMRA avait auparavant fait appel à la société dans le cadre d'un mandat pluriannuel, qui comportait le forage de puits d'eau profonds au champ de captage de Tazerbo. "Il s'agit d'un projet important pour SNC-Lavalin, car notre société sera entièrement responsable de la gestion et de l'exploitation des installations de production existantes", a déclaré Jacques Lamarre, président et chef de la direction de Groupe SNC-Lavalin inc. "Nous sommes fiers de contribuer au projet d'aménagement de la grande rivière artificielle, qui apportera un élément vital aux Libyens et améliorera ainsi leur qualité de vie." Aux termes du nouveau contrat, SNC-Lavalin sera responsable de la gestion, de la rénovation et de la mise en service des installations de Sarir, et fabriquera ensuite 15 000 conduites cylindriques en béton précontraint, d'une longueur de 7,5 mètres et de divers diamètres, qui seront utilisées pour l'aqueduc. La société fournira les matériaux, la main-d'oeuvre et l'équipement pour la fabrication de ces conduites suivant des normes internationalement reconnues. SNC-Lavalin assumera l'exploitation des installations de Sarir en juin 2002, et réalisera les travaux sur une période de 20 mois. "Nous sommes très heureux de cette marque de confiance en notre expertise, et de continuer à participer au projet de la grande rivière artificielle qui, selon l'UNESCO, est le plus important projet d'ingénierie en cours de réalisation dans le monde", a indiqué Sami Bébawi, vice-président directeur du Groupe SNC-Lavalin inc. SNC-Lavalin (TSE : SNC) est l'un des plus importants groupes d'ingénierie et de construction au monde et un joueur clé dans la propriété et la gestion d'installations. Le Groupe de sociétés SNC-Lavalin possèdent des bureaux partout au Canada et dans 30 autres pays. SNC-Lavalin travaille actuellement dans une centaines de pays.
PAIE CONSTRUCTION - Un nouvel outil aux entrepreneurs de la construction Parce qu'il s'agit d'une tâche exigeante, complexe et parfois même stressante, Desjardins propose aux entrepreneurs du secteur de la construction un nouvel outil fiable, adapté et rentable pour gérer la paie de leurs employés - PAIE CONSTRUCTION. PAIE CONSTRUCTION, offert par Services de paie électronique Desjardins, permet d'effectuer, en plus des calculs de la paie, ceux des cotisations syndicales, des avantages sociaux et des contributions résidentielles pour l'ensemble des secteurs sans compter la gestion complète des remises gouvernementales et de la CCQ ainsi que la production des T4 et Relevés 1, pour ne nommer que quelques-uns de ses services. "Services de paie électronique Desjardins mise avant tout sur un service personnalisé, accessible et responsable qui saura accompagner et guider les entrepreneurs. Nous voulons que ceux-ci puissent se consacrer pleinement à leurs vraies affaires et ce, en toute quiétude face aux exigences énormes de ce secteur en matière de fiscalité, de législation ou de réglementation" a déclaré Maureen Dubois, directrice de Services de paie électronique Desjardins. Paie Construction se caractérise entre autres par un service de qualité offert par une équipe de paie-maîtres d'expérience provenant du secteur de la construction. On peut obtenir plus de renseignements sur Paie Construction ou encore adhérer à ce service en composant le 1 888 311-1616 ou en visitant le site Internet de Desjardins à l'adresse www.desjardins.com/paie.
Important revirement de Roctest en 2001 Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2001, Roctest Ltée a réalisé un chiffre d'affaires de 22,8 millions $, représentant une hausse de 36,9% par rapport aux revenus de 16,7 millions $ enregistrés en 2000. Plus important encore, la Société a dégagé un bénéfice d'exploitation de 1,6 million $, alors qu'elle avait accusé une perte d'exploitation de 2,1 millions $ lors de l'exercice précédent. Trois principaux facteurs expliquent le revirement de la rentabilité de la Société : la hausse des ventes, une gestion serrée des frais d'exploitation et le regroupement des activités de fabrication de la division IGS à l'usine de Saint-Lambert. Roctest se spécialise dans la commercialisation d'instruments technologiques de mesure qui font appel, notamment, à la fibre optique. Ses produits et services sont destinés au secteur du génie civil et servent aussi à différents tests et analyses dans le secteur industriel. Active dans plus de 75 pays, Roctest exploite des installations au Canada et en France. La Société compte 150 employés.
Portes ouvertes chez Pierquip! Pierquip Inc, une entreprise de Mirabel en affaire depuis 1989, "le spécialiste de la remorque" ouvrira ses portes, lors d'une journée spéciale le jeudi 23 mai prochain (2002). Pierquip Inc vous invite à venir les visiter entre 13h00 et 20h00. Une foule d'activité sont au programme, dont plusieurs cliniques qui se tiendront tout au long de l'après-midi, sur des produits spécialisés ou sur des nouveautés, dans le domaine de la suspension par exemple. Plusieurs autres sujets d'actualité. Renseignez-vous pour l'horaire des cliniques et réservez votre place en nous appelant ou en nous télécopiant vos coordonnées. Huit manufacturiers de pièces animeront ces cliniques, soit : Truck Lite, Alcoa, Canadian Metallic, Hendrickson, Hidden Hitch, Haldex, Walco et Ridewell. De plus, la plupart de nos manufacturiers de remorques seront présents toute la journée, afin de répondre à vos questions sur leur produits. Des démonstrations sont prévues. Toute l'équipe de Pierquip Inc sera disponible pour répondre à vos questions concernant toute la gamme de services que nous vous offrons. Profitez de cette journée "Portes Ouvertes" pour visiter nos installations. Pour le plaisir, venez rencontrer notre client, M. Ronald Nuckle, propriétaire d'une Formule 1600 avec sa remorque fermée adaptée spécialement au transport de sa voiture de course. Ce dernier se fera un plaisir de répondre à vos questions. De plus, un BBQ en fin de journée sera servit à tous nos invités. Veuillez prendre note qu'un grand chapiteau, un stationnement adéquat et une sécurité accrue sont prévus. Allez visiter notre site web ! à www.pierquip.com
Le fédéral prolonge le contrat de système en ligne d'appels d'offres MERX de la Banque de Montréal La Banque de Montréal a annoncé récemment que l'Etat fédéral a prolongé son contrat de système en ligne d'appels d'offres MERX, permettant ainsi à la Banque d'exploiter le service MERX jusqu'au 31 mai 2004. Cette prolongation signifie que les fournisseurs de l'ensemble du Canada peuvent continuer à utiliser le service MERX de la Banque de Montréal pour répondre à des appels d'offres du secteur public d'une valeur annuelle de plus de 12 milliards $. "Nous sommes heureux de continuer à offrir notre service MERX, qui donne aux entreprises de toutes tailles l'accès à notre service d'appels d'offres approuvé par l'Etat et à notre aide à la clientèle bilingue 24 heures sur 24", a déclaré Marnie Kinsley, vice-présidente à la direction - Affaires électroniques. "Nous avons l'intention d'améliorer nos services et nous continuerons d'aider les fournisseurs MERX à consacrer plus de temps à répondre aux appels d'offres et à les gagner, et moins de temps à les chercher." Dans le cadre de la prolongation, une nouvelle structure tarifaire entrera en vigueur le 1er juin 2002 conformément à l'état actuel du marché. Le client paiera 29,95 $ par mois plus un tarif discrétionnaire pour chaque document afin d'accéder aux appels d'offres et aux documents connexes parmi plus de 1 700 possibilités chaque jour. Grâce au service MERX, de nombreux acheteurs du secteur public ont réduit leurs frais d'acquisition de 10 à 15%, tandis que certains d'entre eux ont fait état d'économies pouvant atteindre 50% sur les frais de publicité, de papeterie et de copie. MERX a aussi permis aux fournisseurs de faire des gains de temps précieux en leur donnant un accès rapide et facile à des centaines d'occasions d'affaires chaque jour. Premier service d'appels d'offres du secteur public par Internet de son genre au monde, MERX représente actuellement plus de 2000 organismes acheteurs du secteur public fédéral, provincial et autre regroupant plus de 5 000 acheteurs. MERX représente plus de 50000 fournisseurs qui ont accès chaque jour à plus de 150 nouveaux appels d'offres. Le site MERX reçoit en moyenne près de 160000 visites chaque mois. Première banque établie au Canada, la Banque de Montréal (bourses de Toronto et de New York : BMO) est une institution aux services financiers hautement diversifiés. La Banque exploite plus de 30 secteurs d'activité au sein de son groupe de sociétés, notamment l'un des courtiers en valeurs mobilières à service complet les plus grands au Canada, Nesbitt Burns, et un important fournisseur de services financiers du Midwest américain, Harris Bank, de Chicago. Cinquième prêteur aux PME en importance en Amérique du Nord et deuxième au Canada, la Banque de Montréal fournit des services financiers à près d'un demi-million de clients. MERX est une marque de commerce de la Banque de Montréal.
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