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Montréal-Nord se met à l'heure du forage dirigé
L'emplacement des édifices imposait d'emprunter un trajet qui longeait le boulevard Marie-Victorin jusqu'à l'ouest du boulevard Albert-Hudon. Plusieurs entrées asphaltées se trouvaient sur la trajectoire des travaux dont la majorité conçues pour le transport de fardier. Il y avait également deux rues principales, une station d'autobus de la STCUM et de nombreux arbres matures. Suite à une visite des lieux, Yvon Paquette du service du génie de la ville de Montréal-Nord ne put que constater que des travaux avec la méthode conventionnelle (tranchée par excavatrice) auraient d'importantes répercussions sur l'environnement, le transport et les infrastructures existantes. C'est à ce moment que Luc-André Clément, des entreprises de travaux Common, lui proposa la méthode par forage dirigé. Après avoir arpenté le trajet, il fut établi que quatre ouvertures seraient nécessaires pour relier les 900 m envisagés, dont trois pour placer les chambres de raccordement et l'autre pour dégager une conduite de gaz qui se trouvait sur le trajet. Au bout de six journées de forage, tous les édifices du CEGEP Marie-Victorin étaient reliés et personne n'avait été incommodé par le déroulement des travaux. Après examen du chantier, monsieur Paquette fut impressionné par les travaux et l'absence d'impact sur l'environnement et les infrastructures. Dorénavant, lorsque des projets nécessiteront des traverses de routes ou d'endroits paysagés, monsieur Paquette n'hésitera pas à faire appel à l'expertise des Entreprises de travaux Common pour déterminer si le forage dirigé serait applicable et avantageux pour les travaux proposés. Les Entreprises de travaux Common sont les pionniers du forage dirigé au Québec. En une seule journée, un responsable qualifié de l'entreprise est en mesure de donner une expertise et un prix très compétitif vis-à-vis les méthodes conventionnelles employées sans les inconvénients de celles-ci. Le forage dirigé est la solution de l'avenir pour un systéme routier en santé.
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Le projet consistait à relier les édifices du CEGEP Marie-Victorin par un réseau de fibres optiques. Un conduit de 3 pouces devait être enfoui dans le sol.
