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Nouvelles brèves
Le Z-Xtreme de Ashtech fournit une précision
au centimètre en quelques secondes Le Z-Xtreme combine une toute nouvelle conception de suivi du signal avec une plus grande sensibilité et une consommation d'énergie réduite. Les dernières percées dans la conception du récepteur, combinées à la technologie Z-tracking de Ashtech, permettent au Z-Xtreme de faire un meilleur usage du signal GPS disponible que d'autres systèmes sur le marché. Le Z-Xtreme répond aux normes militaires de résistance à l'humidité (Mil Spec 810E) et est construit afin de résister à l'usage sur le terrain. Le boîtier contient une carte PCMCIA, une pile lithium-ion remplaçable qui dure plus de neuf heures et d'un modem interne facultatif. L'interface permet à l'utilisateur de prendre facilement et rapidement des mesures fiables sans ajouter de contrôleur externe. Le Z-Xtreme est dispoible dans plusieurs configurations pour satisfaire la plupart des besoins d'arpentage.
Cummins dévoile MiningGateway.com MiningGateway.com permet de savoir rapidement pour chacune des machines, le nombre d'heures travaillées, la consommation et si une attention particulière doit y être accordée. Présentement, MiningGateway.com montre l'exemple d'un moteur 12 cylindres QSK45 de 1500 hp propriété de Triton Coal, de Gillette au Wyoming. Le portail internet MiningGateway.com comporte également des liens avec les distributeurs locaux et des forums d'usagers qui permettent aux visiteurs de poser des questions sur les moteurs de machinerie minière. Le service MiningGateway.com est offert aux utilisateurs de moteurs Cummins QSK 60, QSK45, K50 et K38 à commande électronique.
Achat de trois camions Liebherr T282 par KMC Mining KMC Mining, qui existe depuis 1949, oeuvre depuis 20 ans dans les champs de sable bitumineux. La compagnie a également participé à toutes sortes de travaux de construction lourde en Colombie-Britannique, au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et en Alberta. KMC Mining connaît les grosses machines. La compagnie a acheté les trois premiers camions de 200 tonnes à entraînement mécanique en Amérique du Nord. Elle posède également une excavatrice Demag H685SP dont la capacité du godet atteint 37 m3.
Le secteur de la Construction en France résiste à Internet Les initiatives et les tendances observées actuellement dans le monde virtuel de ce secteur reflètent largement les dynamiques qui structurent le monde physique des "bricks and mortar". Cette étude met en lumière trois types d'acteurs qui se positionnent sur le Web :
La vente en ligne recèle en effet pour les fournisseurs et distributeurs de matériaux beaucoup de dangers et peu d'enjeux. D'un côté ils s'exposent à un durcissement des négociations ou à l'apparition d'arbitrages (Internet mettant en évidence des disparités de prix régionales sur les produits, qui sont actuellement moins immédiatement décelables et exploitables) et également à certaines difficultés opérationnelles telles que la mise en place d'un schéma logistique efficient. De l'autre, l'absence de véritables demandes des clients à ce jour ne justifie pas une telle prise de risque. Ces acteurs positionnent donc leurs initiatives en ligne vers l'offre de conseils et de services relatifs à la prescription et à la mise en oeuvre de leurs produits. La vente en ligne n'est pas la priorité. Les véritables &laqno;pure players» trouvent difficilement leur accès au marché. En dépit d'une bonne analyse de celui-ci et d'une identification de "value gap" exploitable (ie de gisement d'efficience dans la chaîne de valeur), tous ne disposent pas des atouts propres à leur permettre d'enclencher une dynamique d'affaires. Ces "pure players" souhaiteraient développer les activités de commerce électronique mais ils manquent d'arguments pour inciter les fournisseurs et distributeurs de matériaux à vendre leurs produits en ligne sur leur places de marché. De plus, la taille du marché ne laisse de place que pour quelques grands acteurs positionnés dans un rôle d'intégrateur, fournissant informations et service (sans doute gratuitement) et jouant un rôle d'intermédiaire commercial virtuel. "Un positionnement rentable et pérenne ne peut reposer que sur des ressources clés exclusives, non imitables et valorisées par le marché. Etre le premier ne suffit pas", précise Sylvie Ouziel, Associé d'Andersen Consulting. Les grandes entreprises de construction, quant à elles, partagent le constat que, compte tenu de la fragmentation de ce marché, les parts de marché qu'elles détiennent ne leur permettent pas d'espérer capter, à travers leur propre activité et celle de leur sous-traitants, une valeur suffisante pour alimenter à elles seules l'activité d'une place de marché. Par conséquent, ces sites proposent dans une première étape la mise à disposition d'outil de gestion collaborative de projets afin de capter des parts de marché en ligne et de fidéliser une clientèle. Selon les initiatives, les entreprises de construction se positionnent soit comme clients et comme actionnaires minoritaires, dans une logique de développement en synergie ; soit uniquement comme actionnaire exclusif dans une logique de diversification stratégique. Dans la première stratégie, l'entreprise apporte à la place de marché un volume d'affaire initial (ses propres chantiers et sous-traitants) qui permet d'affiner la compréhension des attentes clients et d'amorcer l'activité. En retour, la place de marché accroît l'efficience opérationnelle de l'entreprise. Dans la seconde approche, la place de marché ne cible pas les sous-traitants de grandes entreprises mais les plus petits acteurs de la chaîne de valeur qui recèlent les plus fortes opportunités de rationalisation. Dans les deux cas, le succès repose sur la capacité à capter un grand nombre de PME et artisans (bien au delà de la sphère d'influence directe des entreprises de construction actionnaires) sur un marché très fragmenté ; mais comme pour les fournisseurs et distributeurs, le commerce en ligne n'est pas la priorité. L'étude permet donc de conclure que les positions stratégiques observées dans le monde physique se transposent dans le monde Internet. Les initiatives sont nationales, avec une ambition de répliquer les modèles gagnants sur d'autres marchés étrangers, mais sans phénomène de convergence internationale à ce jour. Forts de leur poids de négociation lié à leur taille, à leur concentration et aux barrières à l'entrée (capitalistiques et logistiques), les grands fournisseurs et distributeurs de matériaux structurent leurs sites ou portails autour de conseils et services d'aide sans se lancer dans la vente en ligne. Face à ces constats, de nombreux &laqno;pure-players» se repositionnent en marchands de &laqno;pelles et de pioches» (les seuls personnes assurées de faire de faire fortune lors de la ruée vers l'or). Ainsi, au lieu d'opérer directement une place de marché essayant d'attirer les professionnels de la construction, ils se placent comme fournisseurs de second rang. Par conséquent, même si le marché de la eConstruction semble prometteur car il existe des inefficiences multiples le long de la chaîne de valeur qui peuvent être exploitées grâce à Internet (un marché très fragmenté du coté des entreprises de construction mais en revanche très concentré du coté des fournisseurs et distributeurs de matériaux, une volonté des entreprises de construction d'externaliser les risques vers les sous-traitants et petits artisans, etc.), les modèles économiques restent à valider. En effet, de nombreux sites restent non opérationnels à ce jour et les faibles volumes d'affaires générés lors des lancements d'initiatives eCommerce laissent envisager une rentabilisation à long terme. &laqno;En outre, une restructuration ainsi qu'une consolidation de l'offre est à anticiper afin de garantir aux acteurs émergeants les volumes d'affaires nécessaires. Tous ces éléments inscrivent l'émergence effective de ce secteur dans une dynamique à moyen terme. Les prises de position dans les prochains mois se révéleront sans doute décisives», conclut Sylvie Ouziel.
Plan visant l'amélioration continue de la sécurité
dans les mines en Ontario "Ce qui est très intéressant est que les syndicats, les patrons et le gouvernement ont tous collaboré à cette étude et ont élaboré une approche commune en vue d'améliorer la santé et la sécurité dans les mines, a indiqué le ministre. Les recommandations contenues dans le rapport ont reçu l'appui total du comité. Celui-ci se chargera maintenant de mettre en oeuvre les nouvelles approches dans les mines de l'Ontario." Le rapport, intitulé "Système de responsabilité interne dans les mines en Ontario" établit un lien direct entre le système efficace de santé et de sécurité d'une compagnie et la réduction du nombre d'accidents. L'élément central de l'étude est un nouvel outil de vérification qui sera utilisé dans toutes les mines de l'Ontario afin de déterminer les problèmes de sécurité. Les membres du comité ont accepté que toutes les mines souterraines de l'Ontario encore utilisées soient vérifiées à l'aide de cet outil au cours des 18 prochains mois. L'utilisation de l'outil de vérification dans les mines souterraines aidera à créer des lieux de travail plus sécuritaires pour les générations futures. "Au cours des dix dernières années, nous avons observé une diminution de la fréquence des accidents dans les mines de l'Ontario, a déclaré le ministre du Développement du Nord et des Mines, Tim Hudak. Les résultats positifs du rapport sur le système de responsabilité interne dans les mines en Ontario sont très encourageants. Je suis confiant que toutes les parties continueront de collaborer et que l'Ontario deviendra l'un des endroits au monde où les mines sont les plus sécuritaires." "Les syndicats du secteur des mines ont été la force motrice de la sécurité dans les mines, a déclaré Nancy Hutchison, qui représente les Métallurgistes unis d'Amérique au sein du Comité d'étude sur la sécurité dans les mines. Nous voulons participer à tout projet significatif dont l'objectif est de rendre les mines de l'Ontario sécuritaires pour les travailleurs." "Le rapport confirme que le système de responsabilité interne est le fondement de la production sécuritaire dans les mines de l'Ontario, a indiqué Andy Rickaby, président de la Ontario Mining Association (OMA) et également membre du comité. L'OMA est déterminée à ce que ses compagnies membres qui effectuent des opérations souterraines utilisent l'outil de vérification afin de s'assurer que le SRI est efficace et joue un rôle fondamental dans la réduction des accidents et incidents sur les lieux de travail." Le comité directeur a suggéré des vérifications de suivi tous les 24 mois. Il a aussi suggéré que l'outil de vérification soit pris en charge par la Mines and Aggregates Safety and Health Association (MASHA), l'association de santé et de sécurité dans les mines qui formera les vérificateurs des lieux de travail et rassemblera les résultats afin d'établir des points de repère.
Ferrari sera au Salon de l'auto de luxe de Montréal Avec plus de 65 véhicules en montre, y compris ceux de Ferrari, le Salon Luxe, Performance et Passion n'aura rien d'un salon ordinaire. Les visiteurs vivront une expérience unique puisque les cinq manufacturiers ont convié des fabricants d'articles de luxe à disséminer leurs produits dans le hall d'exposition en vue de créer une ambiance reflétant le mode de vie des propriétaires de voitures somptueuses. Les visiteurs courront aussi la chance de gagner un des quatre week-ends de luxe pour deux au mont Sutton avec hébergement à l'Auberge West Brome. Entre-temps, Holt Renfrew, haut-lieu de la mode à Montréal à confirmé aujourd'hui sa participation au salon. Fort d'une tradition de 163 ans, le magasin haut de gamme agrémentera le salon en disposant des produits dans le hall d'exposition. &laqno;La construction, la finition, le confort, les courbes et le style de ces voitures superbes me rappellent plusieurs éléments qui font partie de nos préoccupations quotidiennes dans l'industrie de la mode, a déclaré Nicole Parisien, vice-présidente et directrice générale régionale de Holt Renfrew. Nous tentons nous aussi de composer charme et élégance afin de séduire le public." &laqno;À l'évidence, le Salon Luxe, Performance et Passion et ses quelques 65 voitures évoqueront élégance, performance et passion. Rehaussé par les articles de qualité qui lui serviront de toile de fond, il créera une ambiance extraordinaire. Ce sera un &laqno;must» pour tous les passionnés de l'auto», d'ajouter Mme Parisien. Située au coeur du centre-ville, la Place Bonaventure est l'endroit idéal pour la tenue d'un tel salon de par sa facilité d'accès soit à pied, en autobus ou par métro. Plus important encore, elle fournira aux manufacturiers l'espace suffisant pour exposer la gamme complète de leurs modèles. L'entrée au Salon Luxe, Performance et Passion sera de 7,50 $ pour les adultes et gratuite pour les enfants de six ans et moins. Les étudiants, le troisième âge et les enfants de sept à 12 ans profiteront aussi de rabais. Le salon sera ouvert de 11 h à 23 h le jeudi et le vendredi et de 10 h à 22 h le samedi.
Alcan annonce l'acquisition de 30 % de l'usine d'alumine Gove en Australie
ALSTOM reçoit de CSXT une deuxième commande pour 100
locomotives remises à neuf La rénovation sera réalisée dans les ateliers d'ALSTOM à Montréal, qui a déjà assuré la rénovation de 50 locomotives SD40-2 en vertu d'un premier contrat de location signé en mars 2000. Deux facteurs-clés ont contribué à cette réussite : la grande satisfaction du client quant à la fiabilité des premières locomotives remises à neuf et livrées avec une prolongation de garantie, d'une part, et d'autre part, la stratégie de production anticipée adoptée par ALSTOM. En effet, ALSTOM utilise des locomotives de son propre parc et les remet à neuf en anticipant les besoins de ses clients. Ainsi, une force locomotrice peut tout de suite être mise à la disposition des entreprises de chemin de fer dès qu'elles en ont besoin. Les 100 locomotives seront livrées à CSXT au cours du premier trimestre de 2001.
Le groupe des producteurs du delta du Mackenzie entreprend des travaux
avec l'Aboriginal Pipeline Group Au rythme où progresse l'étude de faisabilité, les producteurs sont de plus suffisamment encouragés pour commander d'autres études techniques conceptuelles et entreprendre la collecte de données géophysiques de base en 2001. &laqno;Nous sommes heureux de l'allure générale à laquelle a progressé l'étude de faisabilité cette année, a déclaré K.C. Williams, vice-président principal de l'Impériale, au nom du groupe des producteurs. Nos relations avec l'Aboriginal Pipeline Group (APG) ont grandement contribué à faire avancer l'étude et nous sommes d'autant plus encouragés que nous pourrons collaborer plus étroitement avec l'APG en 2001 pour conclure des arrangements mutuellement acceptables en vue d'aménager un pipeline dans la vallée du Mackenzie." Constitué au début de l'année pour faciliter la construction d'un gazoduc dans la vallée du Mackenzie, l'APG compte plus de 30 représentants autochtones des Territoires du Nord-Ouest. M. Williams a aussi apporté les précisions suivantes : &laqno;Comme il nous reste encore à terminer certains travaux, notre étude se poursuivra en 2001. Vu les progrès accomplis, nous irons au-delà de l'étude de faisabilité afin notamment d'approfondir le concept technique et de recueillir des données géophysiques de base. Ces initiatives, y compris les travaux à faire en collaboration avec l'APG et d'autres parties, devraient permettre au groupe des producteurs d'entreprendre dès 2001 les démarches en vue du dépôt d'une demande auprès des organismes de réglementation. Le groupe des producteurs a tenu des audiences libres sur une grande échelle, auxquelles ont participé plus de 70 parties représentant un éventail d'intérêts. Comme elle dispose des ressources les plus importantes dans la région, c'est l'Impériale qui est le porte-parole du groupe des producteurs.
Gaz Métropolitain obtient son enregistrement ISO 14001 M. Robert Tessier, président et chef de la direction de Gaz Métropolitain souligne &laqno;qu'il s'agit d'une étape importante pour Gaz Métropolitain et l'aboutissement d'une démarche d'équipe soutenue. Gaz Métropolitain a opté pour un enregistrement complet et global de l'entreprise. Nous avons donc multiplié les efforts au cours des dix-huit derniers mois. Un travail considérable a été investi dans l'amélioration de notre système de gestion environnementale et dans la formation du personnel. L'entreprise a mis en place des procédures rigoureuses qui lui permettent maintenant de minimiser les impacts environnementaux dans ses opérations à travers tout le réseau de gaz naturel." Gaz Métropolitain distribue le gaz naturel à plus de 150 000 clients des secteurs résidentiel, commercial, industriel, institutionnel et de la grande entreprise. Le gaz naturel est reconnu mondialement pour ses qualités environnementales. Tout en étant efficace et fiable lors de son utilisation, il permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, le smog et les pluies acides. Le gaz naturel est une source énergétique importante pour l'avenir du Québec. C'est pourquoi Gaz Métropolitain entend maintenir l'environnement au coeur de ses priorités.
Atlas Copco nomme un nouveau contrôleur de gestion pour sa division
de services de location Monsieur Olsson, qui occupait le poste de directeur des finances pour Milwaukee Electric Tool Corp., une société au sein du groupe Atlas Copco, à Brookfield, Wisconsin, travaille pour Atlas Copco depuis 1988. M. Olsson arrive fort de sa riche expérience pour ce qui est de diriger des changements et de parvenir à des résultats, ayant occupé de nombreuses fonctions dont des postes de cadre financier en Suède, au Brésil et aux Etats-Unis. Rental Service Corporation, qui fonctionne sous les noms de marques Prime Industrial, RSC et PRIME Energy fait partie des entreprises du groupe Atlas Copco, un conglomérat international de sociétés industrielles. En 1999, le groupe, qui est installé à Stockholm, en Suède, et ses 26 000 employés ont généré des revenus d'environ 4,2 milliards $US, dont 97 % à l'extérieur de la Suède. Les sociétés d'Atlas Copco mettent au point, fabriquent et commercialisent des outils électriques et pneumatiques, du matériel à air comprimé, du matériel de construction et d'exploitation des mines, des systèmes d'assemblage, en plus d'offrir des services connexes et de louer du matériel.
Creation de Premier Tech Composites Premier Tech Composites jouera un rôle de premier plan dans le développement stratégique de Premier Tech Environnement, une unité d'affaires en pleine croissance reconnue comme étant la référence dans le domaine de l'assainissement décentralisé des eaux usées par ses technologies innovatrices et son souci constant de protection de la santé publique et de l'environnement. En effet, l'investissement permettra à Premier Tech Environnement de se doter d'une capacité manufacturière dans le domaine des procédés plastique et d'élargir sa gamme de produits par le lancement, dès le printemps 2001, d'un programme de fosses septiques haute performance unique en Amérique du Nord, composé d'accessoires exclusifs pour fosses en béton et fosses en polyéthylène haute performance. L'intégration d'une capacité manufacturière positionnera l'unité d'affaires parmi les principaux joueurs dans le domaine des systèmes décentralisés de traitement des eaux usées et fera de Premier Tech Environnement une entreprise avec une offre intégrée.
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